Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE PARADISIAQUE OÙ SE CACHE UN BEL INCONNU.
LA PIÈCE PARADISIAQUE OÙ SE CACHE UN BEL INCONNU.

Warning: Trying to access array offset on null in /var/www/223829/site/wordpress/wp-content/themes/bravada/includes/loop.php on line 341

LA PIÈCE PARADISIAQUE OÙ SE CACHE UN BEL INCONNU.

I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD ! as I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD !

Une porte du couloir attira mon attention. Les autres étaient toutes en chêne massif, mais pas celle là. Elle était en métal. Elle me faisait penser à une porte de coffre fort. Blindée… Oui, elle était blindée. Ma raison me hurla « si elle est blindée, c’est qu’il y a une raison ! Un grand danger se cache à l’intérieur ! Éloigne toi, et vite ! ». Mais ma curiosité l’emporta. Je fis un pas de plus vers cette porte. Cette fois ci, c’est le rat, qui était toujours sur mon épaule, qui commença à protester. Je le pris dans mes mains, et l’interrogea : « c’est quoi le problème avec cette porte ? Explique-moi ! Tu sens quelque chose ? ». Tout ce que j’eu pour réponse fut un « Squeek, squeeeeeek » effrayé. Une fois de plus, j’écoutai ma curiosité, et tentai d’ouvrir la porte. En vain. Je collai mon oreille contre le métal, pour écouter les rouages du mécanisme de verrouillage. Je parvins alors à ouvrir cette porte sans difficulté. Je ne savais pas ce qui était là dedans, mais en tout cas cela n’était pas si dur d’y pénétrer… Pour la protection, on repassera. Bref, la porte était ouverte. Je n’en croyais pas mes yeux. C’était… Paradisiaque. Un Jardin d’Eden dans un château. De l’herbe verte, des fleurs partout, des arbres aussi. Toutes les couleurs étaient vives, mais douces à la fois, c’était incroyable. J’apercevais un cascade au loin, et une rivière coulait tout le long de la pièce (dont je ne voyait pas les murs, d’ailleurs). J’avançai. Pour une fois qu’il y avait un endroit sympathique dans cet enfer ! J’arrivai à un lac. L’eau était plus limpide que la limpidité elle-même. Je vis un mouvement dans les bosquets… Et un homme en sorti. Un homme ? Oh non. Cette beauté n’était pas humaine. Impossible. Ses cheveux châtains étaient fins et flottaient à chacun de ses pas. Sa peau avait l’air si lisse que j’avais envie de la toucher pour voir si c’était vraiment le cas. Et ses yeux… D’un vert d’eau inhumain. Tous ses traits n’étaient que perfection. Torse nu, il devait être venu pour se rafraîchir. Il avait l’air fatigué, comme s’il venait d’échapper a quelqu’un qui l’avait poursuivi. Un tatouage recouvrait son dos, mais je ne parvins pas à voir ce qu’il représentait. Il s’était remis de face, il m’avait vu. Il me regardait avec ses yeux de chat. En sueur et couverte de poussière, je me senti hideuse comparée à lui. Il se mit à reculer, puis il parti en courant. Je le suivi, et nous entrâmes dans une pièce annexe de ce paradis…

Partager...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *