Louvelo as Louvelo
Alden.
Une grande masse gélatineuse. Dégoulinante, d’un blanc laiteux, comme du lait qui aurait tourné. Ça n’avait rien d’humain. Même pas des yeux. C’était juste une masse informe de gélatine, gluante.
Je reculai d’un pas, et me retrouvai collé à la porte, le bois froid contre mon dos. Louvelo regarda la créature visqueuse d’un air de prudence empreinte de curiosité.
-C’est vivant ? demandai-je.
Elle hocha la tête.
-Ça en a tout l’air.
Et comme pour confirmer ses mots, la créature émit un gargouillement inhumain qui résonna dans la pièce caverneuse.
Louvelo inspira un grand coup.
-Bon. On la contourne, on essaye de ne pas la réveiller. Parce qu’apparemment, elle est endormie.
J’hochai la tête, et la suivit. Nous nous plaquâmes contre le mur pour ne pas toucher la créature, qui emplissait toute la salle. De temps à autre, elle émettait un gargouillement qui faisait trembler les parois gélatineuses qui constituaient son corps. Louvelo atteint la porte, et doucement, baissa la poignée de manière à l’ouvrir.
D’un mouvement de menton elle m’incita à la suivre.
Louvelo ferma la porte derrière nous, étouffant un autre bruit, cette fois, plus bruyant que les précédents. La Créature s’était réveillée.
Une grande masse gélatineuse. Dégoulinante, d’un blanc laiteux, comme du lait qui aurait tourné. Ça n’avait rien d’humain. Même pas des yeux. C’était juste une masse informe de gélatine, gluante.
Je reculai d’un pas, et me retrouvai collé à la porte, le bois froid contre mon dos. Louvelo regarda la créature visqueuse d’un air de prudence empreinte de curiosité.
-C’est vivant ? demandai-je.
Elle hocha la tête.
-Ça en a tout l’air.
Et comme pour confirmer ses mots, la créature émit un gargouillement inhumain qui résonna dans la pièce caverneuse.
Louvelo inspira un grand coup.
-Bon. On la contourne, on essaye de ne pas la réveiller. Parce qu’apparemment, elle est endormie.
J’hochai la tête, et la suivit. Nous nous plaquâmes contre le mur pour ne pas toucher la créature, qui emplissait toute la salle. De temps à autre, elle émettait un gargouillement qui faisait trembler les parois gélatineuses qui constituaient son corps. Louvelo atteint la porte, et doucement, baissa la poignée de manière à l’ouvrir.
D’un mouvement de menton elle m’incita à la suivre.
Louvelo ferma la porte derrière nous, étouffant un autre bruit, cette fois, plus bruyant que les précédents. La Créature s’était réveillée.