Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE DES MIROIRS
LA PIÈCE DES MIROIRS

Warning: Trying to access array offset on null in /var/www/223829/site/wordpress/wp-content/themes/bravada/includes/loop.php on line 341

LA PIÈCE DES MIROIRS

Rouge comme le ciel as Rouge comme le ciel

Essouflée; je m’écroulait ; horss d’haleine après la peur de la pièce de l’oubli.
j’avait enfin retrouvé mes esprits…
Derrière moi; un couloir.
Devant moi; le vide.
si j’empruntait le couloir; je me retrouvait une fois de plus dans les griffes de la pièce de l’oubli.
il ne restait plus que le vide.
je n’avait plus peur de mourir; a quoi bon; je ne sortirait jamais de ce chateau; quelle idée avait-je eu d’y entrer ?
après chaque pièce; un nouveau couloir; après chaque couloir de nouveaux escaliers….

Je m’élancai dans le trou béant; sans fond…

j’atterit brutalement par terre; et je perdit connaissance.

je me reveillait.
mes yeux était humide; ma vision du nouvel endroit se teinta de flou…
Lorsque mes paupières acceptèrent enfin de s’ouvrir; la confusion se mela au malaise…
je n’arrivait pas a déterminer la taille; la hauteur et la circonférence de la pièce…
jene voyait que mon reflet; partout; indéfiniment; sous tous les angles; encore; encore; encore; encore….
La tete me tourna; je me rendormit.
Un temps indéterminé s’écoula; dans lequel je sombrait dans la cnfusion…
J’entendit une voix cristaline me parvenir; d’abord faible puis brusquement elle m’atteint aux oreilles; presque a me faire peur.
j’ouvris brusquement les yeux.
un ange se tenait devant moi; un visage rond et potelé encadré de boucles blondes qui lui tombait sur les épaules.
des yeux d’un beu inquiétant me fixaient…
Il avait cessé de chanter des que mon regard avait croisé le sien…
il ouvrit la bouche et ses paroles parvinrent; lointaines……
Chuuuuuuuuuuut…
Le sommeil n’attends pas….

je ne pus m’en empecher; mes paupières devinrent lourdes; lourdes….
je n’en pouvait plus…
je fis semblant de m’endormir; mais restait consciente malgré tout…
des mains; me déposèrent dans un char; et légère; je perdit pour la énième fois connaisance…
un parfum enivrant me parvint aux oreilles ; et je me réveillait; encore somnolente…
je commencait a en avoir assez de mon état infiniment comateux !
un rire cristalin me parvint aux oreilles…
un rire moqueur…
Je n’était plus dans la pièce aux miroirs…
un couloir dallé s’étendait a perte de vue.
je m’y élancait; pour fuir ce monde de sommeil ; de délire…

Partager...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *