ça as ça
Je m’approchai du château, en essayant de calmer mon angoisse. Oui, après tout ce n’était qu’un château, un gigantesque château, il ne pouvais pas être bien méchant! Une cinquantaine de mètres me séparai de la source de mes angoisse. Je vis une jeune femme brune et maigre devant moi. Elle s’avança, et les portes du château s’ouvrirent d’elle-même. La femme entra, et les portes se refermèrent. Il faut avouer que c’était impressionnant à voir. Je m’approchai d’elles , et… me cogna dessus.
Les portes ne s’ouvraient pas. Elles étaient trop lourdes pour que je les poussent. Ça n’arrive qu’à moi. Je dois avouer que j’étais un peu soulager de ne pas pouvoir affronter le monstre aux 100 000 pièces. Certes, je voulais tout connaitre du château, mais j’aurais préféré dans un livre ou un film. Malheureusement, les explorateurs s’obstinaient à ne pas revenir des 100 000 pièces. Et, la curiosité écrasant aisément la prudence, je pris à boire et à manger, plusieurs feuilles pour cartographier (100 000 pièces tiendraient difficilement sur une feuille A4, à moins de faire un minuscule point pour chaque pièce, ce qui n’aurait aucune utilité), une boussole, mon arbalète et une petite dague, et je me lançai dans dans une grande aventure. Grande aventure tué dans l’œuf par l’entré du château.
Je m’apprêtai à rebroussai chemin, lorsque que je vis que le chemin continuai en contournant le château. La suite du chemin, plus étroite, était en fait une petite corniche. C’était étrange que je ne l’ai pas vue tout à l’heure.A moins que le château ne l’ai crée? Quoiqu’il en soit, j’oubliai toute envie de demi-tour, et je me mis à longer la corniche. Elle tournait autour d’une tour à la gauche de de l’entrée, puis descendait brutalement jusqu’à une cavité creusée dans la montagne, quelques mètres plus bas.
La cavité en question était parfaitement ronde, et des lettres grecques était gravaient sur toute la paroi, sol compris. Au fond de la cavité se trouvait une porte de pierre, à peine discernable. Je pris le peu de courage ayant survécu au passage de la corniche à deux mains, et je tournais la poignée.