Julie ♥ as Julie ♥
Je prends une grande inspiration et pénètre dans le Château, je suis donc au rez-de-chaussée, si vous avez bien suivi. Je ne sais pas pourquoi, mais mon instinct d’aventurière me pousse à descendre en bas Au fait, je m’appelle Julie, et j’ai 14 ans, juste comme ça, en passant.
Donc, je descends les escaliers sombres et poussiéreux et arrive dans une pièce sombre et menaçante. Comme par hasard, il y a des barreaux tout autour. Une prison. Chouette !
Je tourne sur moi-même, essayant de trouver où sont passés les escaliers… sauf que… je ne les vois pas ! Sacrilège ! Comment je sors d’ici moi ?
Je retourne sur moi-même, regardant de haut en bas, de gauche à droite. Le sol est aussi poussiéreux que les escaliers et est jonché de débris – qu’est-ce, je ne préfère pas vérifier. Le plafond est en pierre et d’une couleur sombre peu avenante – on aurait dû le peindre en rose ! Les barreaux sont en fer et rouillés, tellement rouillés que je n’ose pas les toucher, de peur de me salir les mains.
Mais la curiosité me pousse à tendre le bras pour toucher ces barreaux ; je m’arrête à un centimètre et pousse un cri.
Une araignée !
« Sale bête ! Allez, ouste ! » je crie, apeurée.
Oui, j’ai peur des araignée, ça pose un problème ?
Bref, je touche enfin les barreaux et sursaute. Ils sont mous et se condensent à mon contact… Intéressant.
Impulsive, je me prends à écarter les barres de faire et… elles s’ouvrent ! Je ferme les yeux et pénètre dans l’immensité noire qui m’attends…
Note à mon petit cerveau : « La geôle est très sale et devrait être nettoyée plus souvent, en informer plus tard le proprio du Château ».