Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE DU VOLCAN
LA PIÈCE DU VOLCAN

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LA PIÈCE DU VOLCAN

Miss Lovegood as Miss Lovegood (aventurière Eureya)

J’entrai dans cet endroit inconnu, pleine d’appréhension. Autour de moi, moi il n’y avait quasiment que de la lave et de la roche. J’étouffais, la chaleur était épouvantable. On entendait au loin un grondement incessant semblable à celui des rivières. Ce lieu m’intriguait beaucoup, j’étais persuadée que j’allais arriver dehors, dans une vaste plaine, et non dans un endroit fermé. À vrai dire, cela ne m’intéressait pas beaucoup, ce n’était pas vraiment ce à quoi je m’attendais et j’étais plutôt déçue. Je traversai donc le ruisseau de lave et longeai la paroi rocheuses pour espérer trouver une sortie. Cet endroit semblait particulièrement vaste ; en effet, je ne parvins pas à trouver d’issue après plusieurs heures de marche. Je commençai alors à regretter d’être partie de la ferme. Et si le monde n’était constitué que de… ça ? Que d’un rocher contenant de la lave ? Une chose était certaine : je n’allais pas passer le restant de mes jours là. Néanmoins, il m’était impossible de refaire le chemin retour et de retourner dans ma ferme. Je décidai donc de poursuivre mon chemin. 
Malheureusement, le sol sur lequel je déambulais s’effondra et je plongeai dans la lave brûlante. Le reste ne fut que des cris de douleur. Je tentai de m’accrocher à des rochers présents sur les berges du fleuve, sans succès. Pour finir, le ruisseau arriva à une cascade. Je tombai dans le vide, puis atterris dans un immense bassin de lave. Immédiatement, je me précipitai vers les bords pour sortir de ce liquide extrêmement chaud. Mon corps était parcouru de traces de brûlures. Je regardai derrière moi ; et une gigantesque montagne rocheuse me surplombait. Je venais donc d’émerger d’un volcan. Charmant. 
Je vis non loin de moi une petite porte en métal. Une deuxième ! Peut-être étais-je coincée dans un endroit empli de portes et de lieux sans aucun lien entre eux ? Tout cela m’intriguait, mais néanmoins, je refusais de continuer mon chemin. Pas question de visiter d’autres endroits aussi dangereux ! Pour l’instant, je devais surtout me soigner. Je sortis donc ma petite trousse de soins de mon sac et appliquai des pommades contre les brûlures. Quand tout cela fut terminé, je décidai tout de même d’ouvrir la porte suivante. Peut-être me conduirait-elle dehors ! 

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