quaryx as quaryx
j’arrive devant un grande porte avec 300 poignées. je regarde ma sœur, elle me regarde. pas besoin de parler entre nous il suffis juste d’un regard pour comprendre nos désirs. on pars chacun de notre côté et on commence a déverrouiller les poignées. une par une. et cela pendant un bon moment.. au bout d’une heure la porte est toujours fermée et moi je continu a déverrouiller les poignées. ma sœur est partie dans un coin se reposer, c’est normale à son age d’être rapidement fatigué. si je ne saurait pas aussi fatigué je l’aurai surement traité de flemmarde mais je ne suis pas d’humeur à ça. soudain sans me rendre contre je déverrouille la dernière poignée et dans un grincement qui fait sursauter ma petite sœur et moi la porte s’ouvre…