I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD ! as I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD !
Après tout ce temps à courir dans les couloirs de cette sombre bâtisse, j’arrivai dans un autre endroit. Je ne pu m’empêcher de penser « tiens donc, quel genre de piège m’attend dans cette pièce ? Après la trappe dans le réfectoire, le lac souterrain, les murs qui se referment sur moi et les Alexandrins philosophique d’une voix d’outre tombe, je m’attends à tout… ». Un instant… Une voix d’outre tombe ? Mon Dieu ! J’avais bien fait de partir en courant ! Qu’est ce qui m’avait parlé ?? Et où j’étais maintenant ? J’éclairai autour de moi avec ma lampe. C’était immense. De grand canapé poussiéreux trônaient au centre de cette pièce, autour d’une table basse. Un salon ? Tout, une fois de plus, avait l’air très luxueux. Décidément, les gens qui vivaient ici n’avait l’air de manquer de rien. Alors pourquoi tout était si désert ? Je n’aimais pas ça. Un miroir qui couvrait la moitié de l’un des murs me renvoya mon reflet. Dans le coin de ce reflet, un détail attira mon attention. Il y avait eu un mouvement. Je me penchai vers le miroir et… Je me figeai. c’était un enfant, accroupi dans un coin, qui me regardait avec ses yeux injecté de sang. Je me retournai aussitôt vers cet endroit de la pièce et scrutai l’obscurité. Rien. Je regardai à nouveau le reflet de la pièce pour vérifier : rien non plus. Mon esprit me jouait des tours à présent ? Il ne manquait plus que ça… Après cela, cette pièce me semblait glauque (et encore, le mot est faible). Je ressorti dans le couloir et continuai mon périple dans le château.