Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA CUISINE DU « PETIT NAIN DE GRAND »
LA CUISINE DU « PETIT NAIN DE GRAND »

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LA CUISINE DU « PETIT NAIN DE GRAND »

un gars… as un gars…

Carnet de Quelqu’un.
Pièce n°26.

J’entrai donc avec celui qui était en fait le cousin du « petit grand nain ». Je lui expliquai mon aventure et pourquoi je connaissais celui-ci, et lui me raconta brièvement l’histoire du « grand petit nain » :

« Quand il était jeune, c’était un nain adorable, incapable de méchanceté. Mais le jour où il découvrit l’histoire du château, il commença à s’éclipser, faire des farces à son frère. Et cela a dégénéré quand il a frappé son père, alors que celui-ci feuilletait son carnet secret. Le grand petit nain récupéra son carnet et s’enfuit. Plus tard, leur père ne voulut plus entendre parler de lui, et demanda à un mage nain d’effacer son fils ,qu’il disait traître, de la mémoire de son autre fils, votre meilleur ami. »

Il me servit un verre d’alcool fort (que je ne bus pas) et termina :

« Mais il y a quelque chose que votre ami ne savait plus non plus, c’est que moi, j’avais retrouvé le carnet de son frère. Il contient des idées abominables, mais toutes en faveur du château, comme l’arrestation des Dupondt, les tableau des liquidés… Bref, des idées terrifiantes. Mais je vois que vous êtes quelqu’un de courageux, et le petit grand nain l’est aussi. Je vous remet donc ce carnet, mais ne le donnez à PERSONNE, et SOUS AUCUN PRÉTEXTE. Vous n’allez pas sauver que les aventuriers, vous allez aussi aider les nains. Partez vite maintenant, et retrouvez mon cher cousin, car votre amitié est essentielle. »

Je le remerciais aimablement et me dirigeais vers la porte du fond. J’allais l’ouvrir quand le nain m’interpella :

« Eh attend !
– Pourquoi donc ?
– As-tu toujours la pièce d’or ?
– Euh… Oui, pourquoi ?
– Quand tu trouveras le petit grand nain, donne lui. Il saura ce qu’elle représente.
– Mais…
– Tututut ! Allez, dépêche-toi, et bonne chance ! »

Je me retournais, saisis la poignée, et m’en allait.

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