loup2000-Alice-Léa-J as loup2000-Alice-Léa-J
Je m’approcher de la premiére porte que je vit, m’aretter puis dans un grand soufle d’espoire l’ouvrit…Mes yeux furent remplies de petite lumiére etincelente,des lumiéres d’émerveillement car une gigantesque salle s’étander devent moi. Des jouet de toute les couleur de toute les formes de toute les sortes s’étander a perte de vue et formaient un village d’une grandeure exeptionelle. Des petite voiture était detandue dans un garage bleu, des maison etait regroupée parci par la. Il y avait méme dans l’une d’elle des poupée blonde, instaler sur des chaises fesant mine de boire du thé. Des boutique de mode, de vetement et de chaussure se melanger aux maisons et au petit hotel. Quelques ruelles parcemet d’arbre en lego et des ruiceaux en plastique paraissait si reele. Je doit vous dire que méme les minuscule souris en bois paraissaient vraiment courir dans les rue de cette ville de jouet. Il y avais tellement de petit objet a découvrir : des chevaux de bois, des petit nounours en peluches, des fées-poupée, des pyramides de cubes et bien d’autre encore… Je commencer a marcher pour mieux regarder les minuscules petit objet. Un pas… Deux pas… Trois p…Boum je glissais sur une voitures et tomber. Ma chute fut longue, trop longue et l’orsque enfin j’atterie sur mes fesses, mes yeux fermer, je me sentie toute…Euh flagada! Tout doucement j’ouvrit mes yeux et bisarment le decore n’était plus le méme, la petite voiture que j’avais heurté en tombent était plus grande, beaucoup plus grande, des maisons m’entourait de grande et jolie maison de toutes les couleurs m’entourait, tout était plus grand. Soudain je conpris : c’est impresion de tomber trop longtemps, cette petit voiture qui etait plus grande qu’au depard, ces maison qui était aparue, tout cela n’avait qu’une explication. J’avais rétrécit ! Tous ce que je voyais et tous ce qui mentourais faisait partie de la ville de jouet. Je pris consience que cela était imposible et que ce n’étaitqu’un reve, un reve etrange tout de méme, un reve que je desirer continuer jusqu’a ce quilme lasse. Alors je me mit surmes jambes et commancer a marcher. D’abord je fut surpris de voir tout ces jouet que javais observer marcher et se parler entres eux,quelques foit des regard se tournais vers moi, des regard surpris mais je finit par les ignorer puis par m’habituer. Je continuer ma promenade l’orsqu’une chouettes de plumes plastifier s’arretta de voler pour me dire:
– Est-ce vous ? HouHou,oui est-ce vouhou dont tout le monde parle de si bon matin ? Hou,vous étes bien le garçon qui se promenne depuis quelques heures dans la ville du bonheur ? C’est vous n’est-ce pas, c’est vous l’étrager ?
– Et bien c’est vrais que je suis un etranger mais…
L’oiseau me coupa la parole.
– Alors c’est vouououh ! Mais qu’est-te vous donc comme jouet ? Un nain de jardin ?
– Euh non mais…
– l’aisser moi reflechire, une fée de plastique ?
– Je ne suis pas cela, je…
– Attander je vais trouver !
L’oiseau me souleva les bras.
– Vous n’avais pas de plumes-plastifier donc vous n’étes pas un oiseau.
Il me pinça les joues.
– Pas en bois : pas un pantin de bois.
Il continua comme cela pendant cinq bonne minute me touchant le nez, les oreilles, le dos et bien d’autres en repetent « non ce n’est pas cela » et me coupent la parole en rouspettant comme quoi je ne lui laisser pas le temps de reflechir. J’en avais marre et il commencer serieusement a magaçer. Je voulais rentrer au manoir !
– STOP ! Je suis humain ! Un humain : H.U.M.A.I.N !
– Un humain ? C’est quoi cela ?
– Une fille, un garçon ! Et je voudrais rentrer au manoir decouvrire une nouvelle porte, une nouvelle piece. Alors savez vous comment je pourrais y retourner ?
– Moi ? Bien sure que non mais je connais quelqu’un, une poupée de chocolat qui pourrais peut étre savoir comment !
– Comment je la trouve alors ?
– Dans cette foret là !
Il désigna la foret jute a coter de nous. Sombre et sinistre et un peu…Molle !
– Cette foret ?
– Oui cette foret, la foret de pâte a modeler ! Enfonce toi y profondément, marche et marche encore : ce sera elle qui te trouvera. Sur ce au revoir !
Il se remit a s’envoller aussi vite quil etait arriver. Je fis ce quil m’avait expliquer et m’enfonca dans la sombre foret. Quelque heures plus tard je me coucher dans un tronc d’arbre et n’endormis. L’orsque je me reveiller j’était de retour dans le chateau coucher par terre. Je me lever,oui j’était bie rentrer : pas d’alucination, ni de chouette en plastique qui parle, RIEN ! Et la poupée alors, je nel’avait pas vue, peut étres un reve alors ? Je nesaitpaset je ne voulaitpeut etres pas savoir alors voila je suis partis en courent vers la direction de la sortie en faisent bien attention au voiture qui roule et aux objets susseptile de me faire tomber. Je me jetter sur la poigner et soirtie pour découvrire une nouvelle piece.