I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD ! as I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD !
Encore un autre endroit… Bon, il était surement temps de savoir si oui ou non quelqu’un était là. Je ressentais sans cesse une présence, comme si on m’observait, et cela m’était insupportable. Je demandai : « Quelqu’un vit-il dans ces pièces sombres et piégées ? » Pas de réponse. « Diantre, répondez moi, ou je vais me vexer ! » C’était étrange, cette manière que j’avais de parler… « Une telle impolitesse est-elle possible ? » Oui, étrange… « Allez vous me laisser sombrer dans cette abîme ? » Mais… Des alexandrins ! Mes phrases ! Elles comportaient toutes douze -sauf erreurs de calcul- syllabes ! Je retentai : « Est ce des alexandrins qui s’élèvent dans les airs ? » une voix me répondit « La poésie est en toi, quoi que tu puisse faire ! » (encore un alexandrin, non ?). Je poussai un cri : « Ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah !! » (encore douze ??). Je parti en courant. Je n’appréciais pas être contrainte dans mes paroles…