I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD ! as I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD !
La porte s’ouvrit dans un léger grincement. Je n’y voyais rien, la pièce ne semblait pas être éclairé. Je sorti de ma besace une torche que j’avais préparée pour ce genre de situation auparavant. Après de nombreuse minute à essayer de craquer mes allumettes mouillées, la torche s’enflamma. On aurait dit… Un cuisine. Une immense cuisine. Oui, c’est ça, j’étais dans les cuisines du Château. Ça alors… Ici aussi, tout était luxueux : les récipient étaient plaqués d’or, les meubles étaient construit en chêne, et étrangement pour une cuisine, la pierre des murs était finement sculptées. Je déambulai un peu dans cette pièce, pour voir si elle cachait quelque chose, mais je ne trouvai rien. Alors, puisque mon estomac criait famine, je pris une tranche du pain posé sur le plan de travail. Du pain… Il était frais. Très frais. Encore chaud. Il venait visiblement d’être coupé. Le couteau à pain était posé en évidence sur le bois. Je m’en saisis, et étouffai un cri : le manche était tiède, empreint de la chaude étreinte d’une main. Comment était-ce possible, alors que tout semblait être abandonné ici ? A ce moment, un saladier tomba et des bruits de pas retentirent. Mon sang ne fit qu’un tour : je m’élançai à la suite de cet être vivant, entrant par la même occasion dans une autre pièce…