un gars… as un gars…
Carnet de Quelqu’un.
Pièce n°8.
Bien réveillé, je franchissais la porte. Et là, j’eus un hoquet de surprise. Dans cette fabuleuse pièce, il y avait tout les livres que j’aurais aimé avoir. Tout les jeux vidéos aucquels j’ai pu réver, les billets de trains et d’avions pour tout les lieux que je voulais visiter et des fauteuils moelleux qui présentaient l’opportunité de se prélasser un bon coup. Quel lieu de rêve. Sans attendre, je me blottis au fond d’un fauteuil avec un des livres à proximité. Mais quand je m’assis, un craquement désagréable retentit. Je me relevai, sorti de mon envie de lire, et vit l’horreur.
Des os ! Des gens étaient passés par ici et étaient morts ! Mais oui, c’étzit logique ! La pièce prenait l’apparence la plus idéale pour celui qui y pénétrait et l’invitait à ne jamais repartir. La personne, qui ne mangeait donc pas, mourrait dans cette pièce. Et j’avais failli me faire avoir !
Soudain un rire à la fois lugubre et lointain retentit.
Apeuré, je pris mon sac et sortis en courant. Au fond de moi, je savais que je ne pourrais jamais oublier ce rire. Je me promis donc la seule chose que je pouvais : jamais, au grand jamais, je ne me referais avoir de cette manière (tout en sachant qu’il serait difficile de tenir cette promesse tant que je serais dans un chateau sarcastique).