un gars… as un gars…
Carnet de Quelqu’un.
Pièce n°5.
Après m’être remis de ce que j’avais vu, je me dirigeais vers la porte qui menait vers l’est. Je venais juste d’apprendre que j’allais sûrement mourir ici et que mon portrait serait, lui aussi, barré à la peinture rouge. Pas de quoi en faire un plat ! J’ouvrit donc la porte.
Chblaam ! Je me pris une vague de chaleur telle que je tombai à la renverse. Devant moi, une longueur infinie de sable fin et de cocotier s’étendait à perte de vue. Je n’en croyais pas mes yeux ! Je me mis à avancer.
Les heures passèrent et je commençais à avoir vraiment chaud. Mon sac à dos semblait peser une tonne et je voyais des portes partout, mais aucune n’avait l’air d’exister. Tiens, je vis même une porte dans une dune de sable. Intrigué par se mirage plus vrai que nature, j’avançais vers celle-ci. Mais comme je regardais cette porte, mon pied se prit dans une racine et je partis en culbute contre la porte. Elle craqua contre mon poids (et oui c’était une vrai porte) et se cassa.
Je me retrouvai ainsi sur le ventre, dans une pièce très sombre.