Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE DU DÉBUT
LA PIÈCE DU DÉBUT

LA PIÈCE DU DÉBUT

J’entre dans une pièce. On dirait un salon. Elle est haute de deux mètres, et mesure environ cinq mètres sur sept. Sur la gauche, une armoire remplie de vêtements en tous genre. En face de moi, un mystérieuse armoire, fermée. Et sur ma droite, un immense table, pleine de victuailles en tous genre. Deux couverts étaient mis. Entre moi et la table, un homme filiforme, dont en temps normal je ne ferais qu’une bouchée, mais je doute désormais de cela. Il porte un costume impeccable, du même noir que ses cheveux, faisant ressortir sa peau particulièrement blanche. Sur son buste, une petite étiquette indiquait « A.Loy ». Je sens aussitôt une bouffée de colère monter en moi, et cela doit être visible, car celui-ci me dit :
-Vous pourriez très certainement me tuer, je vous rassure. Mais je sais que vous avez beaucoup de question, et si vous me tuez, personne ne pourra vous répondre.
-Qui me dit que vous me direz la vérité ?
La méfiance est de mise avec cet homme là. Il m’a déjà trompé une fois, et j’en ai subit les conséquences. Je dois être très prudent.
-Vous n’avez que ma parole. Mais je n’ai plus de raison de vous mentir. Avant tout, mangez,je vous en prie, vous devez être très affamé.
Je me jette en effet sur la nourriture avant de me rappeler que je ne dois pas manger trop vite si je ne veux pas être malade. Je commence donc mon interrogatoire, la bouche encore pleine :
-Pourquoi m’avez vous forcé à faire tout cela et ne pas m’en avoir averti lorsque je me suis inscrit à votre projet ?
-Ces épreuves étaient destinée à vérifier votre force mentale. Si vous aviez échoué, comme tous ceux qui sont parvenus à cette étape avant vous, je vous aurais laissé mourir. Mais vous avez réussi. Je peux donc vous laisser partir dans votre corps amélioré, et avec votre esprit fortifié. Si je vous avais averti, auriez vous consenti à tout cela ?
-Certainement pas, suis-je obligé de convenir.
-Alors que là, vous en ressortez amélioré, et vous pourrez prendre tout ce que vous voudrez dans nos armoires, que ce soit armes, vêtements, vivres ou outil, du moment que vous pouvez le transporter.
-Mhm… Cependant, si ce que vous m’avez fait subir vient à ce savoir, votre projet tombera à l’eau, et vous serez tué.
-C’est pourquoi je compte sur vous pour ne rien dire.
-Vous avez trop confiance en moi…

***

Après m’être restauré, je trouva une douche derrière un paravent pour me laver. Puis je choisi un grand sac, dans lequel je mis divers vêtements confortables. Sur moi, je pris un pantalon de toila noir, avec un T-shirt noir, et sous ma grande veste à capuche, un gilet pare-balle étonnament fin. À mes pieds, je mis de confortables baskets. Ensuite, je mis beaucoup de vivres dans mon sac, et à ma ceinture, j’accrochais des gourdes. Enfin, j’ouvris la mystérieuse armoire. Elle était pleine d’armes. Je pris un gros marteau que je glissa à ma ceinture, me voyant déjà, tel un Roran, terrasser tous mes ennemis grâce à celui-ci. Je choisi aussi un pitolet que j’accrochais à ma cuisse. A l’autre cuisse, j’accrochais une épée. Enfin, je pris une dague, accrochée à mon mollet, dissimulée par mon pantalon. Alors que j’allais partir, je vais un autre marteau que je glissa dans mon sac, déjà bien plein, puis je pris un marteau. Lorsque je voulu franchir le seuil, je ne pus m’empêcher de frapper A.Loy à la tête, afin de lui faire payer un minimum ce qu’il m’avait fait subir. Puis je sortis de cette pièce, chargé de mon curieux accoutrement.

   Auteur : zebrulon sous le pseudo « zebrulon »

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