Hommage à « La disparition »
Je me suis réveillée dans une salle humide ,quelque peu fissurée .Du lierre rampe sur les murs.Sur le plus long,je vis une affiche avec de vagues dessins de A,B,C…Jusqu’à Z,mais une croix rouge dissimula l’un d’eux.Il y a à peine cinq secondes,je touchais le sol glacial.Décédée?Dans le coma?Non,expliqua ma conscience.Choquée,oui, mais saine et sauve. Et aidée par une ombre des Limbes,Gonzo l’écrivain Fou.
Comme un nuage,il a erré dans deux anciennes pièces ,en plus de celle-ci.Une avec un Koala Xénophobe .La seconde avec virgules et signes inapropriés.
-Pourquoi son trouble,pourquoi sa folie?demandai-je.
-Jamais il n’arriva à s’exprimer,car il lui manqua quelque chose d’indispensable.Enfin…Voyons la vie en rose: grâce à la salle dans laquelle nous sommes,il se préserva du Ch… ainsi que de la Créa… Sans leur nom,pas d’idée!
-Malin,répondis-je.Agile.Sauf que ce plan échoua,n’est-ce pas?
-Hélas…La Folie lui agrippa son cœur,et il sombra dans un sommeil infini. C’est son âme,qui erre, et qui vous a aidé.
-Une conscience ne vouvoie pas.
-Bien sur…Dis moi,jeune maline, si il possible d’échapper à la règle,dans cette pièce.
-S’exprimer normale…Les adverbes non plus! Bref,communiquer est devenu impossible.
Infernal. Oui,infernal. Une nouvelle pièce de l’édifice!