L’ accordéonniste des Marquises as L’ accordéonniste des Marquises
Kælyn
Je me relevai péniblement, faisant face à un immense couloir, dont chaque parcelle de paroi était une porte.
Il y en avait partout. Des grandes, des petites, en bois, en métal, en verre, en carton… je marchai sans savoir où j’ allais,n’ osant en ouvrir aucune. Jusqu’à ce que le couloir se sépart en deux. D’ instinct, je pris à gauche. Je retombai sur une fourche, mais à trois branches cette fois. J’ en choisis uneet continuai… pour arriver à une fourche à quatre branches. ça suffit ! J’ allais finir par me perdre (si ce n’etait pas déjà fait ) ce couloir étant sans fin, le seul moyen d’ en sortir était d’ ouvrir une de ces portes. J’ en choisi une au hasard, toute simple, mais avec un œil gigantesque dessiné sur la poingnée. J’ exprirai un grand coup, tout plutôt que de croupir dans ce labyrinthe.