Shvimwa as Shvimwa
Je courrais, depuis de longue heures déjà, dans ce qui semblait être un couloir. La fatigue engourdissait mon organisme… mais je devais échapper aux ombres !
Ce couloir était sombre, très sombre, et des ombres se mouvaient sur ses murs. Des lianes pendaient du plafond et des abimes surgissaient parfois devant moi ! Sur les murs, une frise de runes violettes d’un antique langage conduisaient, j’en suis sur, à la sortie. Après avoir parcouru près de 8 km, j’entrevis alors une porte, une porte lumineuse. Enfin la sortie !