Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE QUI L’A PIÉGÉ
LA PIÈCE QUI L’A PIÉGÉ

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LA PIÈCE QUI L’A PIÉGÉ

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Je cours. Vite, il faut courir vite. J’arrive face à un mur de pierre. Une impasse, non, il n’y a pas d’issue! Le son des battements rapides de mon cœur sont bien plus entêtent que le carillon de la cloche du Château. J’ai peur. Je m’approche du pan de mur qui me barrait le passage et pose ma main dessus. Mais qu’elle fut ma surprise de voir celui-ci se décaler sur ma gauche pour me laisser le passage. Sans réfléchir, j’entre dans la pièce qui s’offre à moi. La pièce ressemble à un couloir qui paraît s’étendre jusqu’aux étoiles. En effet, le couloir dessinait une montée. Chacun de mes pas résonnent certainement jusqu’à l’autre bout de la pièce. Le couloir est sombre et inquiétant. Les parois sont recouvertes de ronces et de végétaux à pointes. J’ai froid.
Un bruissement, un glissement. Je me retourne brutalement. Les plantes se décollent des murs. Elles glissent en ma direction tes des serpents qui ont pour seul but, tuer. Leurs épines semblables à des griffes d’oiseaux semblaient me menacer. Mon cœur s’affole à nouveau. Me revoilà partis dans une course éffrainée. C’est une question de vie ou de mort. Les ronces s’approchent dangereusement de moi. Un des végétaux s’enroule autour de ma cheville. Je tombe. Il faut résister. Je doit me relever en vitesse! En utilisant toute la force que je possédais, j’arrive à me relever mais je laisse échapper une plainte déchirante car la plante m’a arraché la peau du talon. Malgré mon pied en feu je cours. Courir pour sauver sa peau. A présent les plantes tueuses sont loin derrière moi. J’aperçois un homme estropié. Il est piégé par les ronces . Sa jambe gauche est ensanglantée.
« Arthur!NON!!! non pas lui pas Arthur, NON ne te laissse pas tuer par les plantes! »
J’éssais d’arracher un des végétaux qui le piège, seulement je m’entaille les mains.
« AÏE!! criai-je »
Les tueuses libèrent Arthur. Il est en sang. IL va mourir. Son beau visage est crispé par la douleur.
« Laisse moi! Sauve toi, c’est finit pour moi! Vas! Vite! »
Je fus summergée de larmes. Je regarde une dernière fois mon bien aimé et fuis.

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