Louxit as Louxit
Je m’arrêtais devant un miroir terni. Il n’y avait pas de porte. Je n’eu pas le temps de réflèchir, que déjà le miroir basculait. Une chambre lumineuse prit place devant moi. Je m’y engouffra. Mais je regretta mon choix dès qu’un bruit sourd brisa le silence. Le miroir avait reprit sa place. Je fit donc un pas ésitant. Mais à peine avait-je bougé ma jambe que la chambre disparu. Il n’y avait plus de lit luxueux, plus de chadelles blanche, plus de lustre en diamant. Même le sol n’était plus. La pièce se plongea lentement de ans le noir. Affolée, j’essaya d’hurler. Mais aucun son ne sortit. J’étandit un bras, dans l’espoir de toucher un mur, mais il n’y avait rien. J’était suspendu dans le vide, dans une pièce qui paraissait sans limite. Une minute plus tard, je tentait à nouveau de toucher un mur. J’étandit mon bras au maximum, alongea mes doigts… J’allais renoncer quand j’éfleura une surface molle. Enfin! j’allait peut-être pouvoir sortir! Au même moment, je sentit une caresse sur mon autre bras. Je mis un moment à réaliser. Je m’était touché moi-même, alors que je voulait atteindre le côté opposé. C’était impossible! Je ne voulait pas y croire, mais un nouvel essai me résigna. Je me redressa, droite comme jamais. Je ferma les yeux, dans l’espoir de les
ré-ouvrir autre part. Le silence me terifiait. Aucun son, aucun signe de vie. Je n’entendait même pas ma propre respiration. Je ne sait pas combien de temps j’avait attendu, fébrile, que quelqu’un vienne. Lorsque j’entendis enfin un son, je crut être sauvée. Mais je me trompais. Comment un être humain aurait-il pu émaitre ce sifflement magnifique?
Un jet d’eau me tomba sur la tête. Je l’acueilli avec bonneur. Enfin quelque chose de normal! La suite se déroula très vite. j’ouvrit les yeux, et je vit une énorme baleine qui me fonçait dessus. Elle m’engloutit,mais je sentait mon coeur battre.Je me sentait bien. En moi coulait un savoir nouveau. J’était devenue la baleine. Et elle était en moi. Un vent puissant me balailla, et je me retrouva de l’autre côté de la pièce que j’avait franchi. Mes yeux étaient devenus bleu, comme l’océan. Et comme ceux de la baleine avec qui je partageait désormait mon âme.