Le Rossignol as Le Rossignol
Le couloir faisait environ 100 mètres de long et 10 m de haut. Il était large et les couverts de tapisseries pourpres.
-C’est joli! s’extasia Ambre.
Nous avançames dans le gigantesque couloir, marchant sur le tapis rouge (encore) qui recouvrait le parquet de bois.
Au bout du couloir, au plafond, une flêche clignotante indiquait une porte dérobée et il y avait marqué : Bienvenue au chateau des 100 000 pièces, bonne visite, j’espère que vous en reviendrez E…
Je frissonnai: vous en sortiriez quoi? Entiers? En vie?
Ambre trop occupée à regarder le plafond peind de runes fut très étonnée lorsqu’elle tomba dans une trappe cachée sous le tapis. Elle hurla et s’aggrippa désespérément au bord du trou mais ses doigts glissaient sur le parquet parfaitement ciré. Je me précipitai pour l’aider et je lui attrapai la main, juste avant qu’elle ne lache. Une porte claqua et un adolescent entra essouflé .Sa peau était blanche et ses oreilles pointues. Dès qu’il vu que mon amie était sur le point de mourrir, il se précipita vers nous et tira Ambre de toutes ses forces. Elle fut carrément exulsée au plafond et retomba mollement comme un coussin.
-Bonjour, comment tu t’appelle?
-Robin, comme vous je me suis aventuré dans ce chateau et je n’en suis jamais ressorti. La porte ne s’ouvre que de l’extérieur, dit il en désignant le fond du couloir. On est coincé ici.
-Tu es tout seul, demanda Ambre très curieuse.
-J’était avc mes amis, un loup-Garou, une Bête un voleur et une sorcelière. La Bête avait faim et elle est partie mais elle est tombée sur le chat botté. Elle s’est enfuit et s’est fait un peu taillé le museau.
Le loup Garou s’est brullé dns une argenterie et il est inconscient au troisième étage. Le voleur a voulu piqué des bijoux en or mais en touchant un collier un trou s’est ouvert sous lui et Tara. Ils ont disparu et je suis déscendu pour les chercher en dessous . Mais je ne les ai pas trouvé. Il faut monter.
Ca doit surement être piégé dis-je en désignant la porte.
-Non… commenta Robin.
Allons par là, l’interrompij-je.
De l’autre coté du couloir, il y avait une porte plus visible. Je posai la main sur la poignée.
-Il ne faut pas ouvrir cette po…
Le dernier mot mourut dans sa bouche. J’avais déjà ouvert ladite porte.