Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE DES PORTRAITS
LA PIÈCE DES PORTRAITS

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LA PIÈCE DES PORTRAITS

Chouki Sauvage as Chouki Sauvage

Dés que je suis entré dans le château, j’ai remarqué cette porte, il faut dire qu’elle s’est affichée à moi. Elle était faite d’un bois peint de rouge, un rouge si profond que je me perdit à le contempler et je crois même ,que si mon portable n’avait pas sonné, m’annonçant que le signal était faible voir inexistant -quelle surprise !-, mon âme aurait été aspirée. D’un bras tremblant, j’ouvrit la porte et m’avança. A peine ces quelques pas faits, je les regretta. La piéce était grande et dégageait une ambiance de chalet de montagne, vous savez, lorsque vous narguez le froid de l’extérieur, au coin du feu, dans une couverture, un bon livre à la main et dans l’autre une tasse de chocolat fumant. Si cette description s’arrétait là, oui, la piéce fut chaleureuse mais malheuresement, je n’ai pas fini. Aux murs, des portraits. De temps en temps, l’image des tableaux facillait et des ombres se formait devant le cadre. Certaines se concrétisaient, d’autres s’évaporaient. Bien évidemment, comme je ne fus pas suicidaire, je tenta de m’enfuir mais la porte claqua, m’enfermant. Bien contraint de bouger, je visita, contemplat chaque cadre. Je remarqua une chose, certains cadres m’étaient uniques, ils représentaient certains de mes pires cauchemars mais heuresement, aucun de ces cauchemars ne sa matérialisat. Sauf un. Surement le pire. Dans un nuage de brume grise, une silhouette se forma, celle d’un adolscent. Blond, musclé, du genre à faire craquer les filles. Mon grand frére, celui sur lequel j’avait toujours compté et celui qui ne m’avait jamais aidé même lors de l’annonce de ma quéte dans ce château. J’attendis avec angoisse ce qu’il allait faire. Je le vis comme dans une vision. Comme si nous passion un appel avec caméra à distance. Il était penché sur son mobile. La vision zooma sur l’appareil et je vis des SMS qui m’étaient destinés. Il disait qu’il s’inquétait. La piéce se jouait-elle de moi ? Aucune idée mais un autre évenement me détacha de mon frére, un portrait brillait et un personnage m’attendais, un livre et un trousseau de clef à la main. Je m’avança et sans un mot, il me mit le livre dans les mains. C’est surêment mon amour des livres qui me conduit à ouvrir l’ouvrage. Un plan du château se dessiné au fur et à mesure que je tournais les pages. Certaines piéces étaient tachés de noir qui se mouvait sans arrêt. Ce que j’avais pris pour des clefs était un trousseau de petits cubes en rubis. Alors, là, je compris ma mission. Le noir était destiné à être enfermé dans les cubes. Je ménerai à bien ma quète. Je vaincrai le mal de ce château…

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