The constellation of the black cat as The constellation of the black cat, où TCOTBC au nom imprononcable
La pièce suivante était, comment dire… Plate. Plate comme la page 53 du premier tome du livre des étoiles. Et lisse, lisse comme le disque jamais gravé du 201eme album de Michael Jackson. Vous vous demandez surement comment j’ arrivais à me mouvoir dans un espace aussi restreint -quoique pas dénué de contenu, contrairement au 201eme album de Michael Jackson- qu’ une page du livre des étoiles ? Et bien je ne le sais pas moi-meme. Et puis les deux seuls murs de la pièce (si on peut appeler cet étrange espace une pièce) étaient transparents, ce qui faisait que je pouvais voir une autre pièce en face de moi, meublée exactement comme celle dans laquelle je me trouvais. Comme dans un miroir où je ne me verrais pas. Puis je réalisais une chose : c’ était moi qui me trouvais dans le miroir ! Mais alors, dans ce cas, comment se faisait-il que je ne me trouvat pas dans la pièce réelle ? Puis je me dis qu’ après tout, ce n’ était pas parce que quelque chose apparaissait dans un miroir qu’il apparaissait de l’ autre coté. Sinon, vous imaginez les horreurs que l’ on pourrait faire apparaitre dans notre monde ? Comme, je ne sais pas, moi, des Zombies ? Un second maitre Gims ? Un miroir, contrairement à ce que l’ on pourrait penser, obéit à sa seule loi, car lui n’ est pas obligé de faire apparaitre dans le monde réel ce qu’ il contient réelement. Je trouvis une porte dans la paroi du miroir et m’ y engouffrais pour me retrouver dans la pièce réelle…
La suite dans la prochaine pièce.