un gars… as un gars…
Carnet de Quelqu’un.
Pièce n°34.
« Tu le connaissais, celui-là ?, lui demandais-je.
– Pas plus que toi, répondit-il, mais je pense qu’il nous à bien aidés. Je n’aimerais pas être irradié…
– Ça non, acquiesçai-je avec un soupir. »
C’est à ce moment là que je me rendis compte que, malgré le fait que nous soyons dans cette pièce vide depuis cinq minutes, j’avais à peine avancé d’un mètre. Mon ami, qui avait dû être arrivé à la même conclusion, s’exclama alors :
« C’est moi où on marche quasi-sur place ? »
Je regardai alors la pendule sur le mur de droite, le seul objet qu’il y avait dans cette pièce d’ailleurs. Il était 11h03m18s. Nous étions rentrés à 11h02m57s. Et j’avais à peine refermé la porte. Je demandais alors au petit grand nain :
« À quel étage sommes-nous, déjà ?
– Au 4ème, affirma-t-il. »
Un sourire s’étendit sur mon visage. Intrigué, mon ami me demanda :
« Qu’y a-t-il ?
– Il y a que je sais où nous sommes !
– Euh, tu peux préciser ? »
Sur ce, je lui montrai le carnet qui appartenait anciennement au grand petit nain :
« Là dedans sont inscrits tout les rapports entre ton frè… le grand petit nain et le château, où sa conscience du moins.
– C’est extraordinaire !, s’exclama mon ami.
– Et crois moi ou non, continuai-je, il y a ici notifié ceci :
« Dans la pièce du temps, celle où une horloge tient,
Avec une pièce dorée, visez le chiffre un. »
Aussitôt, je sortis la pièce, et la lançais sur le 1 de l’horloge. Elle ricocha dessus, et tomba à terre. Alors, les aiguilles se remirent à tourner aisément, et nous nous mîmes à remarcher à la bonne allure.
Je traversai alors la pièce, suivi de près par mon coéquipier, et lui dis alors :
« Et tu sais le mieux ? Cette porte mène droit dans l’antre du grand petit nain ! »