Miss juliette94 as Miss juliette94 ( moment fleur de sel )
J’étais à la fois triste et joyeuse.
Un petit garçon au petit sourire méfiant,me regardais avec des yeux comme si je venais de tuer Béyoncé ou bien François Hollande !
-Eh bien Juliette tu t’es mis sur ton 31 aujoutdh’ui !
Je n’avais qu’une simple robe rouge à strass et un décoletté.Et comment se garçon connaisait mon prénom ? Je pris mon courage à deux mains puis,sans réfléchir,dit machinalement :
-Comment connais tu mon prénom ?
Les yeux du bonhomme s’ouvrirent d’un coup laisant tomber une petite balle qui rebondit sur mes pieds.Il ouvrit sa bouche en tirant sa petite langue.Oui,depuis au moin 5 minutes il me regardait sans mot en faisant tourné sa langue en rond.Je vis apparaitre du jambon coincé dans sont appareil dentaire.Une forte haleine se dégaja de sa bouche.Puis me dit :
-Je vais te préparer une chambre.
Me voila installée dans une piéce si se n’est le cas de dire avec un lit tout verdâtre.Mais se qui me génais le plus c’était l’intriguant tableau au dessus du lit ,un portrait de Napoléon 1er…
Je pris alors mon iphone et rassura mes parents en disant que j’étais chez Amélie ma meuilleure amie.Ma mère me répondis un bref oui.
Vers 20h35 le bonhome arriva avec un plateau.Je pouvais appercevoir des raviolis et un verre d’eau.
-Bon appétit.
Puis il se tourna et sortit de la pièce en fermant la porte.
Je ne toucha pas au plateau repas.Je me glissa dans le lit.Les draps étaient humide.Je frissona.
Je me réveillas en surssaut.Je transpirais.Non je n’avais pas révé Napoléon était belle et bien devant moi.Il me regarda tout content.
-Bonjour ma mie,je.suis prisonier de ce tableau depuis ma mort.Oh ma chére,je vous pris sortais moi de cette endrois !
Je tourna sur plaçe.
Je sentit alors une odeur de raviolis provenir du tapis.Je souleva alors le tapis.
Une petite trape se tenais devant moi.Je l’ouvris avec précotions.Un léger crincement se fis entendre.Devant mes yeux se tenais désaprésent une femme dodus avec un tablier noir et blanc.Je fis signe à Napoléon de venir voir.
Des bruits se fesaient entendre en provenance du couloir.Sans ésitations je sota dans la cuisine.Napoléon m’imita.Je me cacha deriere une grande armoire.Puis sota d’un coup en dehors de la pièce.
Mais la femme me vis puis pris un grand couteau et me le planta dans le coup.Je ne sentis rien.Puis trou noir.
Et la des nuages roses des sucreries….
Oui,j’étais.morte mais sortis de ce chateau.