Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE QUI ABRITAIT TOUS LES MAGAZINES LES PLUS DANGEREUX AU MONDE
LA PIÈCE QUI ABRITAIT TOUS LES MAGAZINES LES PLUS DANGEREUX AU MONDE

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LA PIÈCE QUI ABRITAIT TOUS LES MAGAZINES LES PLUS DANGEREUX AU MONDE

Le Saule Pleureur as Le Saule Pleureur

Oui, comment sortir de ce château? Telle est la question… Je suis arrivée dans cette pièce par un curieux hasard. Figurez vous que je venais de sortir d’une pièce, et qu’une voix m’a appelé. Le truc, c’est qu’elle m’a dit de ne pas entrer dans cette pièce…Donc bien évidemment, j’y suis entré. Et j’ai découvert… Une immense bibliothèque. Cadenassé. Avec un panneau en bois rongé par les termites marquant « Attention! Danger! ». La bibliothèque ne contenait que des magazines. Curieuse, je m’approchais de l’étagère en ébène, visiblement, où était gravé l’inscription « magazines les plus dangereux, catégorie AAAAAAAtention! etc ». Je tapotais la vitre qui me barrait l’accès à ces irrésistibles revues (oui, je sais, il ne faut pas tenter le diable, mais là, quand même, c’était trop fort…). Celle-ci s’ouvrit délicatement, laissant apparaître… Tous les Je Bouquine parus! Aaaah… Vous comprenez, la tentation était trop forte… J’ai cédé. Et j’ai commencé à lire le JB. (Soit dit en passant, j’en suis une grande fan!!) Et le JB était tellement bien… Que je suis devenue le personnage!!! Tour à tout, j’étais Syrreine, La Mistinguette, Aqua, Libellule… proclamant des commentaires… Les JBNautes qui disaient leurs adoportraits… Au fur et à mesure que je découvrais le JB, j’aperçus des ossements de ci de là, et je ressentis une vive douleur à mon pied. C’est là que je me rendis compte qu’il me manquait un doigt de pied! Le magazine me mangeait!!! Ce ne fut que par une chance inouïe que je sortis du magazine. J’étais rendue dans la BD, et celle-ci était si désespérée, si cruelle, et j’avais si mal à mes pieds, presque inexistants maintenant, que je me mettais à pleurer. Et mes larmes ont détrempé le papier dans lequel j’étais enfermé! Du coup, par un miracle de la nature, je ressortis indemne de ces dangereuses pages… Et ce fut d’un pas chancelant que je sortis de cette cruelle pièce, abandonnant derrière moi tous ces JB qui n’attendait que moi pour les nourrir…

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