Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE OÙ JE PUS (ENFIN !) DÉSTRESSER UN PEU
LA PIÈCE OÙ JE PUS (ENFIN !) DÉSTRESSER UN PEU

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LA PIÈCE OÙ JE PUS (ENFIN !) DÉSTRESSER UN PEU

un gars… as un gars…

Carnet de Quelqu’un.
Pièce n°21.

Je sortis complètement effrayé, et un peu énervé, de la pièce des Dupondt. En franchissant la porte, une baie vitrée orientale, je me retrouvais dans un salon apparemment tranquille. Je vis emmerveillé la lumière du soleil pénêtrer dans la pièce, mais cette joie s’arrêta subitement quand je vis que c’était un éclairage artificiel. Tant pis. Je m’asseyais sur un petit tabouret en bois, histoire de me reposer un peu et de faire l’inventaire rapide de tout ce qui s’était passé depuis que j’étais dans ce château de malheur.
-Au début, c’était bien parti. Je m’étais fais un ami et les pièces étaient assez accueillantes.
-C’est quand j’ai vu Ouinonbof dans la salle répertoire que tout à basculé. Bon, voyons le côté positif, il n’y aura pas de frais d’enterrements…
-Ce n’est que plus tard qu’a eu lieu ma (triste) rencontre avec le
grand petit nain. Si seulement je pouvais l’étrangler un bon cou celui-là !
-En plus d’après lui, le petit grand nain (vraisemblablement son frère) était apparement mal en point…
-Et maintenant, je venais d’apprendre que mon pire ennemi (toujours le grand petit nain) empêchait tout explorateur de sortir du château (qui rigolait d’ailleurs en ce moment) ! Mais je fais quoi ici moi ?

N’empêche, ça fait du bien de faire un petit résumé. Ainsi, (quasiment) destressé, je me relevais, sortis un croissant de mon sac, et parti vers de nouvelles avenrures. Avant de pouuser la petite porte, une idée géniale me vint à l’esprit… Encore fallait-il la mettre en place…

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