un gars… as un gars…
Carnet de Quelqu’un.
Pièce n°7.
La porte s’ouvrit sur un long couloir vide, tellement long, tellement long, tellement long, tellement long, tellement long que jai pelne a ecriro correctemont tellemnt jesuis fatigue. Mais la porte arriva. Je me reposai un moment et la poussais.