La Chameauteure as La Chameauteure, Flocon des neiges.
Peut-être avais-je été tuée par cette maudite pièce vide, mais je ne voulais pas m’en arrêter là ! Alors, plus déterminée que jamais, je repris ma route.
Le fait de ne plus transporter mon corps lourd et encombrant me facilitait grandement la tâche, me permettant de traverser le couloir sans devoir lever la jambes à chaque EENOOOOOOOOORME de l’arbre qui surgissaient partout du sol.
Bientôt, je m’arrêtai devant une porte grise. Curieusement, j’avais envie d’y aller. L’âme battante, j’ouvris la porte…
Je compris plus tard que la porte était en fait grise de poussière et gaz toxiques. Les parois étaient explosées, comme enfoncées, les vites n’existaient plus, et il y régnait une affreuse odeur âcre de vinaigre. Seul sol paraissait normal, à peine récouvert d’une fine couche de poussière jaune. Que s’était-il passé ? Sur les murs, des moisissures multicolores « décoraient » le mur, comme des rubans en papier crépon, et su sang qui paraissait encore frais coulait sur les murs. Jamais durant ma vie (car ma mort n’est pas encore très longue) je n’avais de chose aussi écœurante que celle-ci. Avec empressement, je sortis de la pièce et la refermai. Pouah !
Plus à subir cette affreuse odeur…