Arrietty as Arrietty
Mon petit carnet rouge rangé, je me tournais bravement vers de nouvelles aventures.
J’ouvris donc une porte dans le couloir de gauche, bleue lagon avec à la place de la poignée, un coquillage d’un blanc immaculé.
Une fois la porte ouverte, je faillis m’évanouir.
Je me trouvais devant une immense masse d’eau.
Une immense masse d’eau qui ne bougeait pas, qui ne se déversait pas par la porte, car cet océan était figé.
Des gigantesque tortues de mer, des requins, des poissons multicolores, des crustacés attaché sur des rochers posé sur le sol tapissé de sable et même des méduses étaient figés, immobiles.
Une murène mordait dans la chair d’un poisson, des larmes de sang figées éclaboussait la scène autour d’eux.
Cela sentait le sel, les souvenirs et l’océan.
Émerveillée devant ce spectacle incroyable et magnifique, j’écarquillais les yeux.
Je sortis mon carnet et, devant cet océan figé, j’écrivais :
« Cahier de Mona :
Rez-de-chaussée – Douzième pièce en partant de la gauche – Océan figé »