Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE DE LA GROSSE LIMACE BAVEUSE QUI EST TOMBÉE SOUS MON CHARME IRRÉSISTIBLE ET M’A AVALÉE AVEC SES BISOUS BAVEUX
LA PIÈCE DE LA GROSSE LIMACE BAVEUSE QUI EST TOMBÉE SOUS MON CHARME IRRÉSISTIBLE ET M’A AVALÉE AVEC SES BISOUS BAVEUX

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LA PIÈCE DE LA GROSSE LIMACE BAVEUSE QUI EST TOMBÉE SOUS MON CHARME IRRÉSISTIBLE ET M’A AVALÉE AVEC SES BISOUS BAVEUX

herbe folle as herbe folle

Je poussais une nouvelle porte. Celle -ci était recouverte de dessin griffonnés à la hâte. On y voyait des panneaux attention, têtes de mort, et compagnie.
J’y entrais tout de même.
Au milieu se dressait le plus gros monstre que je n’ai jamais vu.
Cela ressemblait vaguement à une limace;
mais alors une limace bleue de 3 mètres de long, avec poils et compagnie.
Je reculais d’un pas et percutais un seau en plastique. Je maudit ma gaucherie.
La limace regarda dans ma direction.
Elle s’approcha de moi en rampant.
Tétanisé ,je ne bougeait plus.
Elle était à seulement quelques centimètre de moi.
Je sentait son haleine fétide.
Je me retenais pour ne pas vomir quand … elle m’embrassa. Un truc dégoulina sur ma joue. Je ne pouvait plus me retenir.
Je vomis sur elle. Mais la limace n’en fut même pas offusquée: elle continua à me couvrir de bisous avec sa bouche de la taille de ma tête.
Je me retrouvait dans son estomac à la suite d’un bisou plus langoureux que les autres.
Son intérieur était gélatineux.
Mais il fallait que je sorte coûte que coûte.
Je me mis alors à donner des coups de tête dans sa peau.
Elle finit par me recracher au milieu d’un flot dégoutant d’une matière que je ne citerai pas d’une origine que je ne citerai pas.
Je m’enfuit aussitôt avant qu’elle ne m’embrasse à nouveau.
Je poussait un soupir de soulagement en découvrant la nouvelle pièce.

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